Pascal Leclercq réalise un rêve d'enfant avec son élevage d'oiseaux

De lavoixdunord.fr

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À la retraite depuis le 1erjanvier, Pascal Leclercq envisage d'étendre son élevage.

Il a commencé par un couple de perruches il y a trois ans. Aujourd'hui, ses volières ... comptent une soixantaine de locataires. À 51 ans, Pascal Leclercq est à la retraite depuis le 1er janvier, et ce temps libre, il sait quoi en faire.

Comment cette passion vous est-elle venue ?

« J'ai toujours aimé les oiseaux. Quand j'étais enfant, chez mes parents, j'avais des grives, des pinsons et des chardonnerets.

Aujourd'hui, ce sont des espèces protégées qu'il est interdit de mettre en cage. J'ai donc commencé avec un couple de perruches, puis, petit à petit, mon élevage s'est agrandi. Je me suis intéressé, à travers des magazines spécialisés, à l'élevage des perruches et becs droits, appelés plus communément canaris. Il y a un an, j'ai construit des volières qui représentent environ une surface de 30 m² au total et je suis occupé de terminer une autre volière qui fera plutôt office de nurserie. Il faut de la place pour ces oiseaux, d'autant que l'on ne peut pas mélanger les races, mais aussi séparer parfois les mâles des femelles. Je possède vingt-deux perruches : des conures, des penants, des omnicolors pastels, des kakarikis, des perruches anglaises ; une douzaine de madarins à joues noirs et à joues marrons ; cinq cailles de Chine, sans oublier une vingtaine de pigeons (qui restent en volière), et Enzo, le perroquet amazone à front bleu. » Cela représente-t-il beaucoup de travail ?

« Je passe environ deux heures par jour à m'occuper d'eux. Nettoyer les cages, les nourrir, veiller au bon déroulement de la reproduction et à la nidation au printemps. Je ne compte pas mon temps et j'en ai encore plus depuis la retraite. L'avantage aussi, c'est que mes enfants partagent cette passion et me donnent un coup de main ou prennent le relais quand nous partons en vacances avec Jocelyne, mon épouse. Je me souviens que mon fils aîné, Yohan, se levait toutes les deux heures la nuit pour nourrir les petits kakarikis qui venaient de naître. Il a attrapé le virus et a démarré un élevage d'une dizaine de becs droits de races différentes. Nous sommes une famille (quatre enfants) qui aime beaucoup les animaux. Nous avons quatre chats et un chien. Maintenant que je suis à la retraite, j'envisage d'étendre mon élevage. Ce n'est pas la place qui manque, ni le temps. » •

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Et voilà, une passion, c'est une passion, et c'est très prenant.

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c'est super de pouvoir réaliser ainsi sa passion! c'est sur que c'est un travail à temps plein,mais quelle satisfaction...

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Pascal Leclercq réalise un rêve d'enfant avec son élevage d'oiseaux Chrisi10

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